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L’eau verte en agriculture

Dans certaines régions proches des déserts pour lutter contre l’aridité, voir pour éviter l’extension de la sécheresse, les agriculteurs de ces régions utilisent ou réutilisent les techniques (ancestrales) qui permettent de profiter au maximum de l’eau contenue dans les sols.

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Eau bleue – eau verte : de quoi s’agit-il ?

L’eau « bleue » est celle qui s’écoule dans les rivières jusqu’à la mer, celle qui se trouve dans les lacs, qui est captée dans les nappes souterraines, qui est distribuée dans les canalisations, etc

L’eau « verte » est celle qui est contenue dans le sol et qui est disponible pour les plantes

Cette notion d’eau verte est peu connue, mais certaines expériences agricoles menées en milieu aride (Maroc, Tunisie) tendent à démontrer qu’elle constituerait une ressource majeure (60% du total des précipitations constituerait l’eau verte) pour la production agricole mondiale et tout particulièrement pour les zones ou les précipitations sont faibles.


Il faut donner du temps au temps

Nous ne sommes pas ici dans la rentabilité immédiate et c’est bien sur la durée que les retombées positives de cette agriculture pluviale, par l’eau verte, pourront être mesurées, à condition que les autres facteurs mis en œuvre pour cultiver (fertilité des sols, mécanisation,  ….) soient également optimisés.
 

Repenser l’agriculture pluviale

L’utilisation de l’eau verte ne remet pas en cause la culture par l’irrigation, bien au contraire. Il s’agit ici de repenser ou de redimensionner les systèmes d’irrigation qui viendraient la compléter.

La mise en place réfléchie d’un ensemble d’actions consécutives qui partirait de la collecte de l’eau de pluie, de ses possibilités de conservation puis à son irrigation en complément de l’eau verte permettrait une optimisation sans précédent de cette ressource vitale qu’est l’eau.

Au travers de ces études il nous faut introduire les notions de « empreinte eau » et « eau virtuelle »


L’empreinte eau – eau virtuelle

Ces 2 nouvelles notions sont indissociables.

L’empreinte eau se définit comme le volume total d’eau douce utilisé pour produire les biens et services consommés par l’individu, le territoire, l’entreprise, ou la filière.

L’eau virtuelle est l’ensemble des consommations d’eau nécessaire à une production, agricole ou industrielle, ou à un service. En d’autres termes, cela correspond à la quantité totale d’eau nécessaire pour produire quelque chose. On parle d’eau virtuelle car l’eau consommée ne se retrouve généralement pas dans les produits finis.


Nous approfondirons ces notions dans nos prochains articles de blog d’Exquado : spécialiste des fontaines à eau.
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